La nébuleuse de la redevance pour la copie privée dite taxe sacem

Dans Lèche bottes blues, le chanteur Eddy Mitchell n’oublie pas la petite SACEM qui sait oh combien il l’aime. Il y a de quoi, les sociétés d’auteurs sont des pompes à fric qui profitent à une caste de privilégiés qui font le gros de ventes sans les auteurs à faible diffusion et encore moins les conservatoires là où on étudie de la vraie musique n’en voient la couleur. Pour ces derniers ce serait plutôt le contraire, ce serait plutôt la partition de "Passage à la caisse à chaque mesure" qui se joue le plus souvent.
Le schéma de principe, figure sur le tableau ci-dessus. Je vous souhaite bien du courage pour y comprendre quelque chose. Toutefois si vous en avez marre d’engraisser en toute opacité ces sinistres ayant droits en achetant vos clef USB, carte mémoire et autres blue-ray et DVD à graver, sachez qu’il reste possible de se les procurer à l’étranger, là où ces supports sont assujettis à des redevances moins élevées voire pas de redevance du tout. Le Luxembourg est une bonne source d’approvisionnement mais d’autres pays ou petits territoires comme les Ile Anlgo-Normandes sont tout aussi compétitifs.
La Cour des Comptes les épingle régulièrement, mais comme elle n’a pas de pouvoir de sacntion, les sociétés d’ayant droit s’en battent les couilles avec une pelle à gâteau.
Et encore merci à Marc Ress de Next Impact, de nous tenir régulièrement informé de ces magouilles entre copains !