Les homosexuels sont-ils aussi sectaires que les autres ?

12 février 2016 par Déconophone

Mise à jour au 16/2/2016

L’ex-amie concernée bien que son anonymat soit préservé (pas de nom, pas de prénom, pas d’âge, pas de localisation), a repris contact avec moi mais n’a pas du tout apprécié ma publication qualifiant cet article de merde et ma personne d’homophobe (celui qui n’est pas homophile est homophobe, jugement binaire sans juste milieu). Me comparant aux collabos qui dénonçaient sous le régime de Vichy (Elle : Je trouve pathétique que tu fasses ce genre de chose proche de la délation en temps de guerre.) je lui fait comme ultime réponse (à défaut de lui coller un point Godwin) que moi : Je ne suis pas un nazi, ni un collabo, en tout cas nous n’avons pas la même interprétation de ce que cela a été. Je ne fais pas de procès sommaires aux personnes sans les avoir écoutées. Je ne souhaite pas les éliminer physiquement !

À propos du débat d’idée : Elle : Je n’ai pas à débattre de mes choix comme tu n’as pas à justifier les tiens .

moi : J’avais espéré que tu prennes ton temps pour mieux m’expliquer. Peut-être que tu serais parvenue à faire évoluer certains de mes préjugés. Tu n’as pas jugé cela utile, tant pis. Une occasion ratée pour tout le monde ! =>

Me méprisant, évitant toute forme de débat, ou de discussion, elle déclina en fait, son droit de réponse que je lui avais explicitement proposé, c’est très regrettable.

Les communautés s’enferment et se replient sur elles-mêmes vivant en parallèle l’une de l’autre dans une société mondialisée prétendue universelle. Un signal très inquiétant pour ne futur de notre société.

Le rédacteur de ces lignes fut un ami de longue date d’une jeune femme qui au fil des années découvrit son homosexualité. Elle me fit son coming-out en 1996, je la connaissais depuis 5 ans. Loin de l’ostraciser en la traitant de grosse gouine, je lui confirmais qu’elle était libre de ses choix. En couple avec une amie pendant quelques années, elle me donnait de temps en temps de ses nouvelles, elles avaient l’air heureuses. Après tout, tant mieux. De cette union, elles ont eu une fille qui a 15 ans aujourd’hui. Le père biologique était une de leurs relations amaicales, un garçon également homosexuel évitant ainsi une inutile insémination artificielle en Belgique et pour la gamine l’inconnu sur ses origines biologiques.

Hélas, les histoires d’amour se terminent parfois plus tôt que prévu. Sa séparation lui fit dure à supporter. Elle fit d’ailleurs une tentative de suicide. Je n’en sus rien à ce moment là, je l’avais perdue un peu de vue. En 2011, je repris contact avec elle. Elle allait cahin-caha enchainant quelques aventures. Certaines de ses partenaires me manifestaient des accès de jalousie qui n’avaient rien à envier de machos masculins méditerranéens.

Liée avec elle par l’intermédiaire de Facebook, j’observais ses goûts , ses envies, ses revendications. Je me souviens de son soutien indéfectible en 2012 pour François Hollande qui avait promis "le mariage pour tous" (MPT). Malgré les manifestations en 2013 de plus d’un million et demi de personnes, Taubira et Cie ont passé en force la loi sans débat. Le peuple était une fois de plus écartée des questions de société. La France devint un pays de plus sur la liste des pays de "tafioles" au regard de pays plus traditionalistes notamment au Proche et Moyen-Orient où l’homosexualité reste une abomination comme cela est inscrit à la fois dans la Torah, dans l’ancien testament de la Bible et le Coran. Pour information l’association des mots homosexualité et abomination est désormais taboue en France. En effet le lobby LGBT fit un procès retentissant à Christine Boutin en 2014 pour avoir fait ce rapprochement. Elle fut condamnée à 5000 € d’amende le 18 décembre 2015.

Les hétérosexuels naïfs auraient pu penser que les 2 % d’homosexuels auraient cessé l’agitation.

FAUX ! Forts de la victoire du PACS en 1998, du mariage pour tous en 2013, le lobby LGBT revendique l’accès PMA et la GPA (sachant que la GPA est interdite à tous). Eh oui, deux humains de même sexe peuvent avoir un nombre incalculable de coïts, ils ne pourront jamais se reproduire. Il ne pouvaient pourtant pas l’ignorer. Les lois de la nature restent les plus fortes.

Parce que persécutés pendant des siècles, considérés comme des malades mentaux jusqu’en 1981, parce qu’ils réclamaient la tolérance des hétérosexuels vis à vis de leur orientation sexuelle, les naïfs pensent que la communauté homosexuelles est plus ouverte d’esprit que la moyenne.

Eh bien, c’est faux !

Comme disait Pierre Desproges dans sa chronique de la minute nécessaire ? de M. Cyclopède.

En effet, tout d’abord mon amie afficha de plus en plus ses revendications sur son compte Facebook. En un mot elle se radicalisait. Elle n’hésitait pas, pour appuyer ses revendications communautaristes, à dénigrer la maltraitance faites aux enfants par de mauvais parents forcément hétérosexuels. En décembre 2015, outrée par les dégradations de l’exposition en pleine rue d’Olivier Ciappa, je lui demandais si l’exposition prétendue être axée sur la famille respectait la règle des quotas à savoir 2% de photos pour les couples homosexuelle. Ma question était quelque peu biaisée car je savais pertinemment qu’elle ne les respectait pas et de loin. Ne nous cachons pas derrière le petit doigt, cette étalage n’était qu’une énième provocation subversive vis-à-vis des hétérosexuels qui droits dans leur bottes persistent à apprendre à leur enfant qu’une famille c’est un papa et une maman. C’est leur droit et penser le contraire est une entrave à la liberté de conscience. Désolé braves parents, il faudrait laisser dire les profs au collège pour seulement réinfomer ensuite dans le huis clos du domicile familial votre version de la famille !

Au mois de janvier 2015, j’ai constaté une disparition soudaine de son compte Facebook. Les recherches s’avéraient vaines et il n’était plus possible de lui écrire. Par déduction, j’ai pensé tout d’abord à une suppression de son compte. Que nenni ! Constatant qu’elle continuait à poster des commentaires publics sur le compte Facebook de sa petite amie du moment, j’ai alors compris qu’elle m’avait lâchement bannie de ses relations, sans explication, sans avertissement.

repli communautaire

J’ai tenté alors donc de la recontacter, mais je n’ai pas eu de réponse. Force est de constater avec déception que le communautarisme n’est pas incompatible avec l’homosexualité. Se renfermant sur lui même, le lobby LGBT aboie et martelle à qui veux l’entendre notamment à travers les mouvement comme Act-Up ou Total Respect l’intolérance des autres à leur encontre. Ils visent notamment les fachos du FN (Si Florent Philippot est hétérosexuel alors moi je m’appelle Julie). Certains sont assurément un comportement sectaire du même acabit que l’on retrouve dans d’autres communautés, des gens en mal d’identité dans une société anonyme qui cherchent à exister en singularisant par rapport aux autres.