La première étude sur les viols à Paris écarte quelques idées reçues

On nous aurait menti ? Alors que des migrants en rut se sont rués sur quelques jeunes femmes naïves et imprudentes pour fêter la fin de l’année, on en apprend de belles sur les origines géographiques des agresseurs sur la place de Paris. 52 % sont étrangers c’est à dire n’ayant pas la nationalité française. Cela signifie que dans les personnes françaises, celles qui le sont depuis une période récente c’est à dire moins d’une génération sont comptabilisées dans les agresseurs de nationalité Française. 52 %, c’est plus que la moitié et pourtant la population vivant sur notre territoire n’est pas étrangère à 52 %. Cela signifie donc que les étrangers commentent en moyenne largement plus d’agressions sexuelles que les français. Autre surprise 7 victimes sur 10 sont de nationalité française.
On traduit ça en langage plus conpréhensible : des millions de paires couilles déferlent du monde entier pour tenter de saillir (et souvent y réussir) nos femmes et nos filles sans leur consentement. Oui mais voilà, le dire et pire l’écrire, est catalogable de propos racistes, mais comme disait Zemmour qui a eu de gros ennuis pour avoir tenu des propos similaires c’est pourtant la encore un fait !. France terre d’accueil, mon oeil ! La France n’est pas un lupanar pour les obsédés sexuels de la planète.
La première étude sur les viols à Paris écarte quelques idées reçues
Une première enquête sur les viols commis à Paris entre 2013 et 2014 menée par l’Observatoire national de lutte contre la délinquance et consultée par Europe 1, révèle qu’ils sont commis dans 50% par un proche de la victime.
Alors que l’on cherche encore à savoir ce qu’il s’est passé la nuit du 31 décembre 2015 à Cologne et dans d’autres villes en Europe, un premier rapport mené par l’Observatoire national de lutte contre la délinquance et consulté par Europe 1, apporte un éclairage sur les viols commis à Paris entre 2013 et 2014.
Alors que le viol est encore souvent perçu comme une agression commise par un inconnu dans une ruelle mal éclairée, cette étude montre qu’il est en vérité perpétré, dans la moitié des cas, par un proche de la victime. De plus, trois-quarts des agressions sexuelles sont commises dans des espaces privés (maison, voiture…). 57% sont même perpétrés dans des lieux d’habitations. A l’inverse, 12% des agressions sexuelles surviendraient dans l’espace public, et un viol sur dix en pleine rue.
93% des victimes sont des femmes, 100% des agresseurs sont des hommes
Le rapport se penche également sur les arrondissements parisiens les plus touchés par les agressions sexuelles. Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les quartiers les plus populaires, ni les plus excentrés, mais les Ier, IXe et Xe arrondissements où le taux de viols pour 100 000 habitants est le plus fort.
Comme le souligne Europe 1, l’étude dresse également un profil général de la victime et de l’agresseur. On apprend ainsi que 93% des victimes sont des femmes, âgée de 30 ans en moyenne, une fois sur deux alcoolisées ou droguées. Les agresseurs, eux, sont dans 100% des cas des hommes, âgés de 34 ans en moyenne, de nationalité française dans 48% des cas.
Notons que le fait que 50% des femmes violées soient sous l’emprise d’alcool ou de stupéfiants ne justifie en rien leur agression. Cette donnée permet, au mieux, de prendre conscience qu’encore aujourd’hui, les femmes encourent certains risques à adopter des comportements festifs…
Moins de 10% des femmes violées portent plainte
Cependant, dans la mesure où nombre d’agressions sexuelles ne sont pas rapportées et qu’elles ne font pas systématiquement l’objet d’une plainte, les statistiques les concernant sont souvent à prendre avec des pincettes. C’est ce que souligne l’association féministe Osez le féminisme qui rappelle dans un communiqué que “moins de 10% des femmes ayant été violées parviennent à porter plainte”. Ce qui s’explique par la peur “de ne pas être crues”, du “mauvais accueil des forces de l’ordre peu ou pas formées”, de “procédures judiciaires trop longues et éprouvantes”, de “viols requalifiés en délit”, de “peines légères pour les agresseurs”…
OLF en profite pour relancer son appel aux responsables politiques concernant l’amélioration de la prévention et de la lutte contre le viol, via “une formation systématique et obligatoire des professionnel-le-s qui peuvent recueillir la parole des victimes”, un “financement accru des associations spécialisées pour un meilleur accompagnement des victimes“, ainsi que “l’application effective de la loi de 2001 prévoyant 3 séances annuelles d’éducation à la sexualité du CP à la terminale“.