Angélisme et euro-islamisme par François Kersaudy du journal le Point

On constate que la réalité fait mentir tout ces parasites de SOS Racisme, LICRA, LDH, France Terre d’Asile dont les discours pluridécennaux d’autoflagellation commence sérieusement à sentir la décomposition avancée. Les lanceurs d’alerte sont de plus en plus nombreux et ne se retrouvent pas qu’au FN et autres organisations d’extrême droite. Les images d’illustration montrent des files de mecs poilus parce qu’en vérité dans les "migrants", ils représentent l’essentiel.
Déconophone
http://www.lepoint.fr/invites-du-po...
et
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Notre préférence marquée pour l’autoflagellation et les clivages politiques nous empêche d’observer ce qui se passe depuis des décennies chez nos voisins.
1ère partie
Les moralistes, les progressistes, les angélistes et les droits-de-l’hommistes vous le diront tous en chœur : si nous avons été hors d’état d’intégrer une partie substantielle des fils et petit-fils d’immigrants maghrébins et africains subsahariens, si nous ne savons que faire des vagues de nouveaux arrivants clandestins ou non, si la France compte officiellement 751 zones de non-droit, la faute en incombe à notre honteux passé colonial, à tous nos gouvernants depuis Napoléon jusqu’à François Hollande et, bien sûr, à notre société raciste, fasciste, xénophobe, islamophobe, discriminante et... (ah zut la suite de la première partie, il faut payer)
2nde partie
Londonistan
Le cas de la Grande-Bretagne reste l’un des plus préoccupants, car c’est dans ce pays que s’est opéré en premier le brassage de la délinquance crapuleuse et du fanatisme religieux. Ainsi, un « groupe communautaire » connu sous le nom de « Muslims against the Crusades » a entamé une campagne pour transformer douze grandes villes en « États islamiques indépendants. »
En attendant d’y parvenir, leurs « talibans » lancent des menaces de mort contre les femmes s’aventurant sans voile dans certains quartiers, et arborent en outre des pancartes libellées « Vous entrez dans une zone où l’on fait respecter la charia ». À Leytonstone, à l’est de Londres, l’ancien ministre de l’Intérieur John Reid a été apostrophé par l’extrémiste musulman Abou Izzadeen en ces termes : « Comment osez-vous entrer dans une zone musulmane ? » Plus grave encore, la révélation de l’affaire de Rotherham : entre 1997 et 2013, un vaste gang pakistanais réduisait en esclavage et livrait à la prostitution au moins 1 400 enfants non musulmans âgés de onze ans et plus ; le scandale s’est trouvé décuplé du fait que la police et les autorités locales avaient tenté d’étouffer l’affaire pendant des années, « pour ne pas donner prise au racisme ». L’opération « Trojan Horse », révélée en 2014, n’était guère plus rassurante : elle visait à prendre le contrôle de toutes les écoles de Birmingham afin de les transformer en madrasas salafistes. De quoi alarmer sérieusement les populations, pourtant déjà habituées à des secteurs où les 85 tribunaux islamiques connus appliquent la charia en toute illégalité, l’alcool et le porc sont bannis, la polygamie et la burqa deviennent banales, et les crimes peu médiatisés échappent le plus souvent à toute sanction. Mais le problème essentiel est que ces zones non contrôlées offrent à présent un terreau fertile au développement du terrorisme de Daech. Un brassage fatal
C’est évidemment un danger qui menace partout ailleurs, car, à l’exemple de la Grande-Bretagne, les zones de non-droit en Europe occidentale sont devenues des lieux de brassage entre délinquance ordinaire, trafics en tout genre et terrorisme islamiste. Or, tout comme en France, on constate une impuissance presque totale à relever le défi : qu’ils soient criminels endurcis, trafiquants, terroristes ou les trois à la fois, tous peuvent se fondre dans une population immigrée pacifique, démunie, mal intégrée, aisément intimidable et de plus en plus nombreuse. Ces truands multicartes bénéficient de la prévalence du chômage, de la désorganisation de l’Union européenne, de la perméabilité des frontières, de la pusillanimité des autorités locales, de la multiplication des filières d’immigration clandestines, du climat général d’antiracisme sélectif, des obstacles juridiques à l’expulsion, du développement incontrôlé des associations et ONG salafistes, du dénuement des polices, de l’inadaptation des lois, du laxisme des tribunaux, de l’inadaptation des lois, de la peur qu’inspire l’islam radical, de la vulnérabilité des jeunes, du délitement de l’école, de la culture de l’excuse, de la concurrence victimaire, de la culpabilité de l’Occident, du narcissisme des intellectuels, et de la candeur de populations autochtones, pour lesquelles des victimes ne sauraient se transformer en bourreaux et des persécutés devenir persécuteurs. Réveil en sursaut
Pour l’heure, les attentats de 2015, si sanglants soient-ils, ont manqué leur cible : il n’y a pas eu de réactions violentes contre les communautés musulmanes, susceptibles de déboucher sur une guerre civile opposant « croisés » et musulmans – ce qui était le but avoué des fanatiques de Daech. Par contre, les attaques d’immigrants musulmans contre des immigrants chrétiens et les outrages de Cologne ont sans doute ouvert les yeux des Européens les moins assoupis. Alice Schwarzer, cofondatrice allemande du MLF, est manifestement de ceux-là lorsqu’elle dénonce « la fausse tolérance » : « Au nom du politiquement correct et de l’antiracisme, il ne faudrait pas dire que les violeurs de la Saint-Sylvestre sont d’origine arabo-musulmane. On préfère dire aux femmes allemandes de s’adapter. C’est justement cette cécité volontaire qui a favorisé l’expansion de l’islamisme dans nos pays. On sait que les islamistes sont organisés et structurés. J’ai du mal à croire que ce ne soit pas une action concertée, avec des motivations politiques visant à sonder nos défenses... Dans toute guerre, la violence sexuelle est une arme dont l’effet est connu : détruire les femmes et humilier les hommes. » Il est vrai que c’est une pratique récurrente des islamistes, de l’Égypte jusqu’à la Syrie, en passant par la Somalie. Il n’est donc pas impossible que ce soit également devenu un élément d’exportation dans la stratégie de Daech pour l’Europe. Exceptions cultuelles
Malgré tout, il existe bel et bien des pays européens où l’intégration des musulmans semble s’effectuer sans difficulté, offrant ainsi peu de prise au terrorisme islamique : le Portugal, l’Irlande, la Lituanie, l’Estonie, la Pologne, la Slovaquie, la Tchéquie et la Croatie en font partie. Est-ce dû à une forte cohésion nationale ? À la volonté des autorités d’exercer pleinement leurs pouvoirs ? À leur refus de distribuer toujours davantage d’allocations sans contreparties ? À la prépondérance d’une religion chrétienne encore très vivante ? À un degré d’instruction souvent élevé des musulmans de ces pays ? Au fait que beaucoup d’entre eux sont originaires d’Europe du Sud-Est, et donc moins culturellement éloignés de leurs patries d’adoption ? Est-ce parce qu’ils ont une très faible tolérance pour les comportements délictueux des jeunes de leur communauté ? Parce qu’ils se méfient énormément du wahhabisme et d’autres fanatismes importés du Moyen-Orient ? Ou bien encore parce que, dans aucune de ces nations, le pourcentage de musulmans par rapport à la population globale ne dépasse 1,3 pour cent - soit un niveau sensiblement inférieur à ce que le président Mitterrand appelait jadis « le seuil de tolérance » ? Autant de questions qui commencent à se poser chez nos voisins, mais qu’il est encore impossible d’évoquer en France, où le débat politique se réduit trop souvent aux « années sombres de notre histoire » et au couple infernal « islamophobie-padamalgame ». À cela s’ajoute que nos autorités ont la faiblesse de s’incliner devant les groupes de pression salafistes subventionnés, ainsi que devant le Premier ministre turc Erdogan, pour qui le fait de demander aux musulmans de s’intégrer aux pays d’accueil constituerait « un crime contre l’humanité » - rien de moins ! Au milieu du XIXe siècle, la Turquie était surnommée « l’homme malade de l’Europe ». Aujourd’hui, c’est l’inverse, et les islamistes en profitent largement…
(1) Birmingham, Bradford, Derby, Dewsbury, Leeds, Leicester, Liverpool, Luton, Manchester, Sheffield et deux quartiers du "Londonistan", Waltham Forest et Tower Hamlets.(2) En Estonie et en Lituanie, les musulmans sont pour la plupart des descendants de Tatars émigrés du sud de la Russie aux XIVe et XVIIIe siècles. Ils pratiquent une religion modérée, et dans les mosquées d’Estonie, chiites et sunnites prient ensemble ...