Baisse du QI : Les français sont de plus en plus stupides !
Cette information résume en quelque sorte le ressenti que les cons de l’année prochaine sont déjà arrivés.
Un autre article paru sur le site d’information de la RTBF notait le 1er février un baisse inquiétante du QI en occident.
Plusieurs causes sont avancées notamment, un autre usage du cerveau dans l’un (Googlisation) et les perturbateurs endocriniens pour l’autre. Avec un mention spéciale pour la fumette, qui rend con ! Qui l’eut cru ? M’en voilà tout étonné.
Néanmoins, il y a un autre cause qui est n’est jamais envisagée, celle que les cons se reproduiraient plus vite que ceux qui le sont moins.
Coluche disait avec dérision "les pauvres sont des cons". Et si c’était vrai ? L’échec du pauvre ne serait-il pas qu’il soit trop con pour réussir ? Cela poserait quand même la question du caractère judicieux de la répartition des allocations familiales qui favorise surtout les rois du coup de quéquette plus que l’intelligence. Car entre nous, ce n’est pas bien compliqué pour un mâle d’introduire son sexe dans celui de sa partenaire, de faire quelques aller retours rapide et d’attendre que ça chatouille suffisamment pour envoyer par réflexe inné son sperme vers l’objectif !
Nous savons également qu’en France les populations fraichement immigrées ont une fécondité plus élevée que les populations implantées depuis plus longtemps, plusieurs siècles pour certaines.
Reste la question qui dérange : l’intelligence est elle strictement et uniformément répartie dans toutes les populations ou plus trivialement, y-a-t-il des peuples plus cons que d’autres ? Si c’était le cas, voilà tout un édifice de bienpensance qui refuse la moindre différence biologique entre les populations qui s’effondrerait ...
Personnellement, j’ai plus rencontré de noirs en tant que vigiles de supermarché et en train de ramasser les poubelles derrière un camion benne que de personnes d’origine asiatique. Ces dernières, je les ai croisées plus fréquemment dans les professions médicales et scientifiques. Est-ce seulement une coïncidence ?
https://www.rtbf.be/info/societe/de...
http://www.bfmtv.com/sante/les-fran...
Baisse inquiétante du QI en Occident, selon plusieurs études Publicité Lucie Dendooven Publié le mercredi 01 février 2017 à 18h50
C’est un phénomène inquiétant. Depuis un siècle, notre quotient intellectuel avait tendance à toujours s’élever dans nos sociétés au fil des générations. Mais voici que plusieurs études récemment réalisées montrent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains mettent en cause les pollutions chimiques, d’autres, notre monde hyper connecté. Mais ces problèmes sont présents aussi en Asie et n’empêchent pas là-bas le QI moyen de progresser.
Notre enquête commence à la Faculté de psychologie de l’ULB. Laurence y réalise ce qu’on appelle un test de QI. Ces tests évaluent notre logique, notre raisonnement, notre rapidité d’action. En gros, nos facultés intellectuelles. Elles ne tiennent pas compte de notre socialisation ou encore de notre intelligence émotionnelle. "Cerveaux Google"
Depuis la fin de la guerre jusque récemment, les tests de QI montraient que notre cerveau évoluait plutôt bien. Mais au tournant des années 2000, plusieurs études attestent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains incriminent notre monde hyper connecté. Pour Axel Cleeremans, responsable du centre de recherche cognitive à l’ULB, ces technologies que sont internet et les iPhones ont pris une telle place dans notre environnement que notre mémoire s’externalise.
Nous avons fait un test sur un campus universitaire. Tous les étudiants interrogés étaient bien en peine de nous citer un seul numéro de GSM de leurs proches. Tout est dans leur smartphone. Lorsque nous leur demandons à quoi correspond la date de 1515, ils s’empressent de faire une recherche sur Google pour nous répondre enfin : "Bataille de Marignan ".
Sommes-nous devenus paresseux ? Pour Emmanuel De Becker, chef du service pédiatrie infanto-juvénile à l’hôpital universitaire Saint-Luc, nous sollicitons simplement d’autres zones de notre cerveau. Le fait d’être devant un écran stimule certaines zones cérébrales et pas d’autres.
En fait, la "génération Google" a tellement intégré les nouvelles technologies que son cerveau s’est transformé. Son hippocampe, la zone de la mémoire s’est atrophiée alors que les lobes préfrontaux- les zones de la synthèse se sont développés.
Pour Emmanuel De Becker, les tests de QI devraient prendre en compte désormais ces transformations de notre environnement et mieux intégrer les nouvelles technologies. Mais comment expliquer, dans ce cas, les performances étonnantes réalisées en Asie alors qu’eux aussi sont hyper-connectés. A Hong Kong et Singapour, le QI moyen est de 108, la Corée du Sud 106. Le premier pays européen à se hisser à la 5ème place, c’est l’Italie avec 102.
Pour Laurent Alexandre, prospectiviste également à la tête d’une entreprise de haute technologie : "Les petits Singapouriens nous dépassent dans tous les domaines. Ce n’est pas qu’ils nous dépassent, ils nous écrasent. Probablement avons-nous renoncé à notre leadership technologique, éducatif et scientifique tel que nous l’avions il y a encore 50 ans. A l’inverse, en Asie, des sommes considérables sont investies dans l’enseignement. "
Améliorer notre enseignement, c’est ce que prône ce spécialiste convaincu que c’est la manière d’intégrer le monde de demain. Un monde où nos jeunes devront rivaliser avec l’intelligence artificielle.
Les Français auraient perdu 3,8 points de QI en 10 ans 24/07/2017 à 09h48
FRED DUFOUR / AFP - BFMTV Plusieurs études scientifiques démontrent que le quotient intellectuel moyen a dangereusement diminué dans les pays occidentaux ces quinze dernières années.
Après un siècle d’augmentation généralisée de la moyenne des quotients intellectuels, notamment liée à l’amélioration des conditions sanitaires et sociales au cours du XXe siècle, la tendance semble s’inverser. A en croire plusieurs études publiées dans la revue Intelligence, le QI moyen de la population baisserait en effet de manière spectaculaire depuis une quinzaine d’années.
Alors que les Britanniques auraient en moyenne perdu 14 points de QI depuis la seconde révolution industrielle, les Français auraient eux accusé une chute de 3,8 points entre 1999 et 2009. Plusieurs causes sont avancées pour expliquer ce retournement, sans pouvoir toutefois mesurer leur poids relatif dans ce phénomène, rapporte Les Echos. Les perturbateurs endocriniens pointés du doigt
La première explication serait que les personnes bénéficiant d’un quotient intellectuel élevé auraient tendance à faire de longues études, repoussant ainsi l’âge de leur premier enfant, et réduisant ainsi le nombre d’enfants qu’ils ont par rapport aux couches plus défavorisées de la population. Leur représentation au sein de la population globale s’amoindrirait donc au fil du temps. Une hypothèse notamment mise en avant par une étude génétique menée sur plus de 100.000 Islandais nés entre 1910 et 1990 et parue en décembre 2016 dans la revue PNAS.
Autre facteur : la prolifération des perturbateurs endocriniens, dont certains entravent l’action de l’iode, qui joue un rôle primordial dans le développement du cerveau. L’industrie chimique pourrait par ailleurs être partiellement responsable de la baisse du quotient intellectuel moyen, avec le développement de molécules dites halogénées, qui "interfèrent avec le système thyroïdien et l’empêchent d’orchestrer harmonieusement le développement du cerveau", explique Barbara Demeneix citée par Les Echos.
Enfin, l’augmentation de la consommation de haschisch pourrait également jouer un rôle. Les études ont en effet montré que, contrairement à d’autres drogues comme la cocaïne par exemple, sa prise répétée a un impact négatif sur le cerveau. Les consommateurs réguliers auraient ainsi en moyenne 8 points de QI de moins que les autres. Me.R.