Une bonne racaille est une racaille morte !

Les moutons hurlent avec leurs prédateurs notamment l’inintelligentia de la gauchiasserie radio-toxique, mais quand on lit le compte rendu de la course poursuite on se rend compte que l’autre paire de couilles à pattes qui se nommerait Nahel était un nuisible hyper dangereux. Ce connard irrécupérable a eu pour destin le seul avenir celui qui lui convenait le mieux : la mort.

Ce policier avait sans doute en mémoire l’attentat de Nice de 2016 ou la récente mort de 3 de ses très jeunes collègues Steven, Paul et Manon assassinés le 21 mai 2023 à Villeneuve d’Ascq par ces racailles nuisibles. De toute façon, si cet agent de la force publique n’avait pas fait cette bienfaisante neutralisation prophylactique, il est à fort parier que le parasite Nahel aurait fini par tomber sur un chef de bande encore plus crevure que lui, et qui serait occupé de sa promotion de gangster en l’invitant à BBQ avec le suprême honneur d’être en place centrale en tant que combustible.

La vidéo du tir est visible ici : https://twitter.com/i/status/167365...

(Notons que j’ai pu la visionner que grâce au lien indiqué par rt.com site d’influence russe interdit d’accès en France)

Je n’ai pas pu extraire la vidéo de Twitter mais pu extraire l’image au moment du tir. L’analyse image par image montre cependant bien que le policier ne visait pas la tête mais les jambes. Il est possible que la racaille se soit penché pour éviter le tir, mauvais choix puisqu’il s’est mis de lui-même sur la trajectoire. Dans la seconde qui suit dans la fuite et malgré une bastos dans le buffet, la racaille n’hésite pas à klaxonner comme un crétin façon de dire "même pas mal". (Un témoignage d’un relation professionnelle m’a raconté qu’il avait été touché par balle en ex-yougoslavie et que sur le coup on ne ressent presque rien ...)

J’espère que ce valeureux policier, qu’une fois aux assises, puisse miraculeusement tomber sur un jury populaire sourd aux pressions médiatiques de cette presse malfaisante et décide de l’acquittement. Il y a déjà eu des précédents même si c’est parfois dans un passé lointain.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/mort-de-nahel-le-recit-de-la-course-poursuite-minute-par-minute-20230629 Mort de Nahel : le récit de la course-poursuite, minute par minute Par Esther Paolini Publié le 29/6/2023 Le procureur de la République de Nanterre a détaillé lors d’une conférence de presse les étapes qui ont conduit le policier à tirer sur le jeune en fuite.

Il est 7h55 ce mardi 27 juin quand boulevard Jacques Germain Soufflot, à Nanterre, une Mercedes classe A jaune canari, immatriculée avec une plaque polonaise, surgit sur la chaussée et roule à vive allure sur la voie réservée aux bus. Deux motards de la compagnie territoriale de circulation et de sécurité routière des Hauts-de-Seine prennent aussitôt le véhicule en chasse. Ils tentent une première fois de l’intercepter, en activant leurs gyrophares, sans succès. Les fonctionnaires atteignent la vitre du conducteur à un feu tricolore, mais celui-ci refuse de se soumettre au contrôle, redémarre hâtivement alors que le feu est encore au rouge. Un piéton et un cycliste mis en danger

À son bord se trouvent au volant Nahel, 17 ans, déjà connu pour un récent refus d’obtempérer, ainsi que deux autres jeunes, probablement mineurs. Les deux motards continuent la course-poursuite sur plusieurs axes, traversant le rond-point des Droits de l’Homme, rue Pablo Neruda, rue des Trois Fontanot et enfin le boulevard des Passereaux, où ils activent de nouveau leurs gyrophares, en vain. Il est 8h16 quand les deux fonctionnaires avisent à la radio leurs collègues de la situation. Durant sa fuite, le véhicule effectue plusieurs infractions au Code de la route, traversant notamment un passage piéton, mettant ainsi en danger un passant et un cycliste.

(Refus d’obtempérer, conduite sans permis, stupéfiants : l’adolescent tué à Nanterre était connu au fichier des antécédents judiciaires)

La Mercedes est finalement contrainte de s’arrêter au niveau du boulevard de la Défense, stoppée par des embouteillages. Les deux motards mettent pied à terre, le premier sur le côté, le second à l’arrière du véhicule, puis sortent leur arme de service pour les dissuader de redémarrer. Ils « affirment avoir crié au conducteur de s’arrêter », poursuit Pascal Prache, procureur de la République de Nanterre.

Une blessure au thorax et au bras

N’écoutant pas les injonctions du policier, Nahel rallume le moteur et redémarre, incitant le policier situé au niveau de l’aile gauche à tirer sur lui à une reprise. La voiture poursuit sa route sur quelques mètres au niveau du passage Arago, avant de venir s’encastrer dans du mobilier urbain place Nelson Mandela, à 8h19. Tandis que l’auteur du tir prodigue les premiers secours, des renforts et les pompiers arrivent sur place à 8h21. Ils tentent de le réanimer, mais il est déjà trop tard. Nahel, 17 ans, touché au bras et au thorax, décède des suites de ses blessures à 9h15.

Sous le choc, le passager arrière s’extrait du véhicule pour être aussitôt interpellé. Le second passager a quant à lui pris la fuite. Il est toujours activement recherché. Placé en garde à vue à l’IGPN, le policier auteur du tir, par ailleurs qualifié de « très professionnel » par sa hiérarchie, a justifié son tir « par la volonté d’éviter une nouvelle fuite du véhicule, la dangerosité du comportement routier du conducteur, induisant chez le policier la peur que quelqu’un soit renversé ou la crainte d’être percuté par le véhicule. » Toutefois le procureur de la République a estimé « que les conditions légales de l’usage de l’arme » n’étaient « pas réunies ». Il a requis sa mise en examen pour homicide volontaire et son placement en détention provisoire.