Crise sanitaire COVID 19 le yakafokon de deconophone

Bon on ne va y aller pas 4 chemins, ce sont tous des brèles, non seulement ils sont incompétents mais en plus, ils le font exprès !

Non, je ne suis pas médecin, je ne risque donc de me faire radier par les vieux croulants du conseil de l’ordre comme tous les médecins qui ont osé ouvrir leur gueule en proposant une approche différente de la crise sanitaire.

Je dispose toutefois de mes connaissances scientifiques en biologie acquise jusqu’en terminale D, et je les ai renforcé à l’aide de lectures dans la presse scientifique grand public. J’ai aussi dans mes relations des personnes qui ont une grande connaissance en biochimie et qui lisent très couramment l’anglais leur permettant de débusquer sur les sites officiels des informations que la presse (pourrie) mainstream ne relaie pas. J’ai donc une opinion différente de la propagande officielle, dont je remets en question la sincérité vu les multiples contradictions relevées depuis fin 2019.

Je me réclame d’une certaine expertise. Alors certes, elle n’est pas celle d’un médecin qui sont rappelons-le sont présélectionnés en première année sur des critères non-pertinents, mais cette expertise me permet de comprendre certaines choses. Ceux qui souhaitent m’interdire cette réflexion minimale, peuvent aller se faire foutre, et n’empêcheront au grand jamais de penser ce que je pense et accessoirement de dire ce que j’ai à dire et à l’écrire !

Tests de dépistage : Le test PCR est une daube 1) parce que l’amplification génétique n’est pas destiné initialement à faire un test de contamination 2) parce les cycles d’amplification sont trop nombreux pour détecter quoi que soit de pertinent. 40 à 50 cycles, vous amplifiez surtout du bruit de fond c’est à dire de la merde, et il n’est alors plus possible de savoir si ce qui est détecté est un fragment de virus mort qui trainait là par hasard ou bien le virus actif. 3) L’absence de détection de quelques protéines constituant le coronavirus garantit que vous n’avez absolument pas du tout le coronavirus sur vous. Mais à l’inverse, le test PCR peut trouver sur vous des traces de coronavirus dans vos trous de nez, sans que vous soyez infecté ou voire malade, ces éléments protéiques peuvent des éléments morts qui se baladent dans l’atmosphère ou simplement déjà refoulés énergiquement à la porte d’entrée de votre organisme.

Masques alias muselière : À l’extérieur, ils ne servent à rien hormis à faire le business des chinois. C’est d’autant plus inutile et crétin les jours de grand vent ou de pluie. À l’intérieur, ils ne servent à pas grand chose, puisque l’étanchéité ne peut être rigoureusement assurée au niveau du nez. Comme cela avait souligné, tant qu’on en avait pas, ils ne servent à rien, manitenant qu’on en a importé massivement, ils sont obligatoires ! Personnellement, je m’en tiendrais à la première version, ils ne servent à rien ... ou si peu.

Soins : jusqu’à maintenant officiellement dans la communication publique, il n’y aucun autre soin de prodigué aux malades gravement atteint que d’administrer du paracétamol (le Doliprane) et de mettre les patients sous respirateur. Les quelques propositions d’études des effets positifs l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été balayées d’un revers brutal de la main, tout en menaçant les quelques promoteurs.

Soins en réanimation privée : Aucune communication officielle à ce sujet. Des patients sont-ils redirigés vers le privé ? Le taux de survie est-il différent ? Mystère ... Pendant ce temps on continue de fermer des lits dans les hôpitaux y compris en 2020, où ils n’ont même pas eu la décence de se marquer une pause en se disant "oups on va dans le mur".

Confinements et couvre-feu : summum de la connerie de dirigeants incompétents. Si on peut à la rigueur le premier confinement dans les quatre premières semaines car on ne savait pas trop où on allait, les suivants et les couvre-feu n’ont servi à rien. D’ailleurs, la population pas dupe, ne s’est pas privé de remplir copieusement des auto attestations pour aller là où on avait vraiment besoin d’aller. Hormis quelques barrages routiers stupides sur le périph parisien vite signalés sur Waze, les flics avaient autre chose à foutre que de traquer les récalcitrants.

Vaccination : présenté comme seule solution écartant d’emblée toute solution comme les soins. Plusieurs "vaccins" sont en concurrence, et curieusement, semble émerger du lot un seul et unique traitement (le mot vaccin n’est pas le plus approprié), celui de Pfizer Bio’ntech le Tozinameran (le toxique à véran). Ce traitement à ARNmessager bien qu’à l’heure où j’écris ces lignes est toujours en phase 3, c’est à dire que tous les effets secondaires n’ont pas été évalués (et il serait bien difficile d’évaluer des effets sur 10 ans quand le "traitemen"t a commencé il y a à peine 6 mois.

Notons que ce "vaccin" est tellement efficace qu’il nécessite deux injections pour être prétendu efficace et que son efficacité est notablement réduite au bout de 6 mois qu’il nécessite un 3 ème rappel voire une 4 ème. Un vaccin à injection unique comme celui du tétanos assure à l’adulte un protection sur plus de 20 ans. Mince, le système immunitaire a donc la mémoire sélective, et il n’y a eu personne pour l’expliquer sur les plateaux TV, que c’est ballot !

En off, on m’a expliqué la daube de Pfizer "n’éduquait" le système immunitaire qu’à reconnaitre la protéine spike (picot) qui orne la surface du virus non pas à des fins décoratives mais pour perforer les membranes des cellules qu’il infecte. Manque de bol, le virus a changer légèrement l’aspect du picot, et les "vaccinés" ont du coup, un système immunitaire qui reconnait que très approximativement les picots nouvelle recette. L’immunité naturelle reconnait le virus sous son intégralité. Ainsi, si le virus réapparait avec une fausse moustache, il sera quand même confondu par son oeil borgne et son crochet à la place de la main gauche.

Ce traitement à ARNmessager, n’est pas anodin, il va au coeur des cellules de l’organisme. Officiellement, l’ARNmessager n’entre pas en contact avec l’ADN du noyau. Quand on sait que l’ADN humain a intégré au cours de son évolution une quantité non négligeable d’ADN d’origine virale, qu’est ce qui assure que les protéines spike n’auront pas envie d’intégrer accidentellement le noyau d’une cellule et de le modifier. Pour rappel, le temps où on croyait de la division cellulaire donnait des copies strictement conforme de la cellule mère est révolu. À propos de la division cellulaire, le noyau est exposé au cours du processus de division et que ce passe-t-il alors en présence de protéines étrangères en grand nombre ?

Le machin de chez Pfizer, est injecté dans l’organisme pour qu’il mette à contribution la zone périphérique de l’injection à la fabrication de protéines spike qui après dissémination dans l’organisme feront réagir le système immunitaire pour reconnaître (temporairement) un hypothétique coronavirus qui aurait exactement la même protéine spike. Si le coronavirus mute en changeant un tout petit la forme de sa protéine spike, il se passe quoi ? Je vous laisse deviner...

Comment l’ARN messager injecté arrive-t-il à se répliquer dans l’organisme sans déclencher une réaction immunitaire (pas de ça chez moi) ? En injectant en même temps un immunosuppresseur.

Que devient protéine spike une fois fabriquée par l’organisme piratée sur ordre de l’ARN messager Pfizer ? Elle se balade partout dans l’organisme, si elle rencontre des cellules du système immunitaire (en état de fonctionner), le système immunitaire identifie un corps étranger et produit des anticorps pour détruire toutes les protéines spike. Mais avant d’être toutes exterminées, les protéines spike ont le temps de faire de la casse dans l’organisme, car rappelons, la protéine spike est une protéine toxique (ça perfore les membranes).

Pass sanitaire : (surnommé pass nasitaire) Contrôle social des populations par discrimination sur un statut vaccinal qui ne garantit absolument pas l’état de santé du "vacciné" qui peut toujours contracter la maladie et continuer à la transmettre à d’autres "vaccinésé ou pas.