Doit-on faire des quotas des dirigeants politiques selon l’orientation sexuelle ?

Dans la pratique et selon les chiffres publiés par l’INSEE, on compte environ entre 2 et 3% des unions qui concerne des personnes de même sexe. Ou dit autrement, plus de 97% de la population serait hétérosexuelle.

Si l’orientation sexuelle fait partie de la sphère privée nombre de personnalités politiques révèlent publiquement leur orientation sexuelle qu’elle soit homosexuelle ou hétérosexuelle que ce soit d’une manière implicite ou explicite.

La manière explicite est de présenter la personne qui les accompagne dans la vie privée, la manière implicite est d’avoir des comportements concordants et qui tendent à conclure une orientation sexuelle plutôt qu’une autre.

Le législateur est intervenu pour imposer un quota pour imposer une parité homme-femme de plus en plus stricte dans la vie politique alors les femmes manifestent bien moins d’intérêt pour le pouvoir que les hommes. Cette parité a été voulue afin que les intérêts de chaque sexe soient convenablement représentés

Aujourd’hui le nombre de dirigeants dont l’homosexualité est avérée dépasse-t-elle le seuil des 3% ? Ce seuil est-il largement dépassé ?

Dans l’affirmative, doit-on faire des quotas des dirigeants politiques selon l’orientation sexuelle afin que les intérêts de chaque groupe soient convenablement représentés ?