2014 année record pour la Française des Jeux

Il n’y a pas de quoi se réjouir que les français les plus pauvres claquent leur pognon dans ce genre d’âneries. Car moins de la moitié des paris sont redistribués. L’autre moitié sert à couvrir les frais de fonctionnement et surtout à gaver l’État avec une fiscalité écrasante.

Je n’ai jamais joué au jeux de hasard et je n’y jouerai jamais !